Thèmes cliquables : cuisine au four - tomate - tartines
Stol m'a donné hier une recette de "bruschetta" censée concurrencer mon fameux sandwich chaud...
La voici :
« La vraie Vie commence maintenant :
- du pain aux céréales, complet ou autre mais en tout cas pas de la farine super raffinée.
- un peu d'huile d'olive répandue sur la tranche non grillée ni cuite avec une petite cuiller à kfé.
- du coulis de tomate en fine couche.
- micro éparpillement d'émincé d'ail (façon chutney) revenu préalablement à la poêle.
- feuilles de basilic [Stol avait dit par erreur "menthe", ce qui explique l'échange qui suit sur "menthe/basilic", mais sa recette demande bien du basilic] disposées all around the bread
- tomates coeur de boeuf en rondelles (peu de jus et bien charnues)
- poivre aux 5 baies, sel
- mozzarella finement coupée. Re poivre.
le tout au four en position grill + ch tournante thermostat j'en sais rien parce que je suis nul en cuisson. C'est visuellement que je donne le go. »
Ce matin je me suis levée à 4.h.30... dans la panique du travail pas fait, comme d'habitude. Alors j'ai travaillé comme une dingue sans interruption (sauf pour amener Camille à l'école) jusqu'à 11 heures.
A 11 heures, grosse faiblesse : je crevais de faim.
Bon, on y va pour la bruschetta.?
C'était e-xac-te-ment ce qu'il me fallait. Absolument délicieux... mmmm oh rien que d'y repenser... j'aurais dû m'en faire plusieurs.!
Vu la fatigue qui s'empare brusquement de moi à l'heure actuelle (après le travail et la bruschetta), je vais surtout laisser parler l'appareil photo.
Alors voici : j'ai commencé par me faire une sorte de "chutney d'ail" personnel.
10 mn de cuisson douce dans l'huile d'olive ont suffi pour bien le ramollir jusqu'au coeur.
(Pas de gâchis : j'ai ma petite huile parfumée dans son petit bocal à présent, avec ce qui reste d'ail.)
Puis j'ai élaboré la bruschetta, couche par couche, selon les prescriptions de Stol (j'ai pris du pain Poilâne — j'ai à cette occasion une pensée pour Lionel Poilâne, dont je ne m'habitue toujours pas à la disparition).
D'abord l'huile d'olive sur mon délicieux pain que je n'ai pas grillé (le four s'en occupera parfaitement) :
Puis de la pulpe de tomates en conserve, parsemée avec générosité de mon "chutney d'ail" :
Puis le basilic :
Et enfin la tomate fraîche (je n'ai pas trouvé de "coeur-de-boeuf" chez Franprix, c'est d'ailleurs dommage qu'ils n'en proposent pas) :
Et pour couronner le tout ?
Tranches de mozzarella, 5-baies moulu, et un filet d'huile d'olive :
Et zou, comme dirait Stol ! Voilà notre bruschetta dans le four.
Quelques minutes plus tard... voici le résultat.
Aïe aïe aïe ! Mmmmm.... J'ai eu du mal à trouver la patience de prendre la photo.
Pour la déguster plus agréablement, je l'ai découpée en "touches de piano".
Joli, non ? ... Et tellement bon !
J'ai particulièrement apprécié le poivre 5-baies. Un régal, marié avec le basilic.
Précision : la tomate n'était pas très mûre, alors je l'ai épluchée tout simplement à l'éplucheur, pour qu'elle s'attendrisse plus facilement au four. Ce qu'elle a fait très gentiment.
J'ai ajouté un peu d'huile d'olive sur le dessus de ma tartine avant de lever les yeux au ciel de bonheur. Ca croustillait et c'était moelleux à la fois, et puis c'était si parfumé, vraiment exquis.
Alors, Stol, j'ai bon ?
PS - Grrrrr... COEUR NOIR au testeur d'haleine.!!!
Faut dire aussi qu'avec tout cet ail !... Même confit, ça reste de l'ail ;-)
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C'est divin!!!
je vois que ,oui tu aimes l'ail!!!
Puisque tu aimes Marseille cela ne m'étonne pas!!!!
Une petite part pour moi stp!!!!!
a+++