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4 cm : la hauteur idéale d'un bon hamburger !

Pour moi, c'est testé et (ap)prouvé : vive le "slim burger"...

Par Caroline • Jeudi 28/08/2014  • Lu 19964 fois • Version imprimable

burger maison

Mots-clés : - -


Avez-vous déjà essayé d'étreindre un gros sumo durant toute une nuit ? D'avaler tout rond une pastèque ?... Avez-vous essayé d'engloutir votre mère en trois bouchées parce que vous l'aimez vraiment beaucoup ?

Enfin voyons ! Tout ça est excessif pour nos moyens corporels.

C'est simple, tous ces burgers qui montent jusqu'au plafond me donnent la nausée :


(Burgers qui soi-disant "donnent la frite aux Français", selon le site www.radiovl.fr.)


Les Anglais sont pires que les Français en matière d'exagération ès-burgers, preuve ci-dessous :


("Devastator challenge" du restaurant Red dog Saloon à Londres : 1 kg pour 3.000.kcal et 15 cm de hauteur, mangé en un temps record de six minutes par un client dont on a sûrement perdu la trace aujourd'hui.)


Quand je pense que le cheese burger est mon préféré de tous les burgers ! Que dire de celui-ci, sinon "pouark, que t'ont-ils fait, à toi mon bébé, mon trésor, mon favori" ?


(Cheese-burger géant, photo trouvée sur last-video.com.)


Pauvre mignonne petite jeune fille... Parviendra-t-elle à se nourrir en conservant une décence ?


(Megaburger de fabrication Burger King, 2011 © Pierre Meyer.)


Nous ne sommes absoluments pas faits pour happer en une fois des énormités comme celles-là, faut-il le rappeler ?

À moins de ressembler à la fille de la pub Perrier qui fait fuir le lion, "roaaaarrrrr" : une capacité d'écartement des mâchoires d'au moins 27 cm, bravo à elle :



"Dégaaaaage... !"
— beau cri poussé par la belle, parfaitement entendu par la bêêêête.



Cette fille est certainement faite pour manger du burger géant. Mais elle est une exception dans le genre humain, convenez-en.



Le "big burger" dans ma bouche : un problème mathématique



Posons le problème de façon scientifique.

Moi, en m'écartelant les mâchoires, j'atteins au maximum les 4 cm d'ouverture buccale utile (= "OBU", pour mes collègues scientifiques).
Alors, dans ces conditions, comment faire quand je me retrouve devant un burger "triple ou quintuple empilage" qui culmine à 9 cm ?

Posons le problème.

Soit :

OBU (ouverture buccale utile) = 4 cm
HDB (hauteur du burger) = 9 cm

On a donc, tout bêtement :  OBU = 4 cm  <  HDB = 9 cm.

Conclusion :  aïe !... Ça coince. Ça bloque au portillon.

Les maths ayant prouvé l'implacabilité de notre souci, voici ce que je fais, en attendant vos bons conseils : exactement ce que laisse présager la formule scientifique ci-dessus énoncée ! Je râle. Je m'en mets partout. Les bouchées ne sont pas satisfaisantes, elles n'incluent que trois ingrédients sur les huit présents dans le burger (aberration totale ça, dans la mesure où l'objectif est la jouissance maxi !) et me mettent de la sauce sur les joues. Je sens ma frustration monter.



Un problème de découragement aussi



Tout comme vous, probablement (enfin, j'espère ne pas m'illusionner sur votre compte), quand je me trouve devant le meilleur des plats, si vous m'en servez une bassine de 5.litres en me disant "tiens, c'est ta part !", je me décourage. Et une louche en guise de cuillère, je pleure.

Halte au gigantisme, à la déraison. C'est atroce en matière de bouffe.

Mais surtout pour les burgers ! Franchement, je ne vois pas l'intérêt gustatif de ces gratte-ciel de bouffe. Mon désir se trouverait aiguisé par ces promesses à dix étages étalées devant mes yeux et mises à portée de ma bouche ?

Soit ! OK, goûtons ! Slurrrrrrrp...
Une bouchée correcte, une autre sublime, douze nulles...

Prix à payer pour ces sensations : trois coulées de sauce sur les cuisses, le menton dégoûtant, un bout de cornichon dans le décolleté.

Bilan : satisfaction nulle, exaspération. On a les papilles gustatives paumées et insatisfaites, les mandibules écartelées, et on se sent comme entourée d'un halo de gras.
Dégoût définitif.

Quant au spectacle que nous donne à voir un mangeur de burger géant, il n'y a plus de mots. C'est juste une vision insoutenable pour une personne un peu délicate comme moi :


(Mangeurs heureux... ; photo trouvée sur myburger.fr.)


(Image myburger.com, toujours.)

Qu'il vive si quelqu'un le juge nécessaire – mais, pour ce qui est de moi, cet individu peut disparaître sur-le-champ de la sphère terrestre.

Je prie le bon Dieu de ramener tout le monde à la raison par pitié, qu'on puisse sa-vou-rer quelque chose d'adapté à sa constitution physique.



Ma solution : un "slim burger" très goûtu, très tendre...  Small is beautiful ! Less is more !



N'allons toutefois pas jusqu'au dépouillement excessif du "double cheese" de tonton Ronald... (quand on voit celui-ci, on n'ose pas imaginer la tête du "simple") :



En effet, "slim burger" ne veut pas dire "light", ni "pauvre".

Regardez plutôt ce burger fait maison (tout à fait délicieux, je vous prie de le croire, même s'il ne brille pas délicieusement comme celui du dessus – cela, on va s'en occuper la prochaine fois !) :



D'abord, il est riche en contenu :



Ensuite, il répond à mon critère de "4 cm de haut et pas un millimètre de plus", grâce à quoi j'attrape tous les ingrédients à chaque bouchée et ça tombe bien parce que c'est la combinaison de tous les ingrédients qui est parfaite :



Quel est ce contenu, ici ?

En partant de la base :

- socle du bun, badigeonné d'un mélange mayonnaise-Savora-moutarde de Dijon
- 1 tranche de cheddar fondu pour hamburger
- 80 g de steak haché étalé (pas plus !), salé, poivré + pincée de sucre
- quelques lamelles de cornichon aigre-doux (malossol)
- quelques lamelles d'oignon rouge
- de la salade émincée
- 1 tranche de cheddar fondu pour hamburger
- couvercle du bun, couvert de ketchup

N.B. - Souvent, je mets quelques câpres surfines que je mélange au steak, je trouve ça super bon.
Attention à bien étaler le steak avant la cuisson. Il doit dépasser légèrement le diamètre du pain à burger, sinon à l'arrivée cela donne ça (trop rétracté et trop épais) :



Là, j'ai ajouté par-dessus le steak haché une tranche de jambon de Paris, que j'ai passée à la poêle elle aussi pour lui donner du goût :



Ça donne un petit punch charcutier, moins typé que le bacon mais du même style. J'ai vraiment bien aimé, Camille m'a dit "ouais bof le jambon, j'aime mieux le bacon !" a adoré elle aussi. *

(* Au total : "Même si je n'aurais pas mis le jambon, c'est super bon", m'a-t-elle dit.)

Voilà donc la question qui m'a grandement préoccupée ces derniers jours. Les Burgers Monsters, c'est peut-être parfait sur des affiches à l'entrée d'un restaurant pour attirer le chaland, mais est-ce à mettre entre toutes les mains... ? Hé, même s'ils ne s'en vantent pas, il y a plein de gens qui "ne font" que 4 cm ! :-)



Triste conclusion


 

[edit 8/02/2016] Et voilà, j'avais raison... Ça m'énerve quand même, la bêtise des gens. Cet article de FranceTVinfo nous le confirme : On peut mourir de vouloir bouffer un burger en une bouchée.

Je vous résume l'affaire. Un jeune Britannique même pas trentenaire, père de trois enfants, a voulu engloutir un cheeseburger entier en le pliant en deux. Il était en pleine santé ce jeune homme, mais le burger aussi hélas :

« Le Britannique a lancé à ses amis “regardez-ça !”, avant de plier son burger en deux pour l'introduire dans sa bouche.
« “Je l'ai vu essayer de recracher et il faisait des bruits de toux horribles, a témoigné un ami de la victime, j'ai essayé de le frapper dans le dos pour l'aider à dégager ses voies respiratoires.” Les secours sont arrivés sur les lieux de la soirée et ont tenté de relancer le cœur du jeune homme, sans succès. Le décès a été prononcé sur place. Une boule de nourriture de 8.cm sur 5.cm a été extraite de sa gorge. »

(extrait de FranceTVinfo, cliquer sur le lien plus haut pour le lire dans sa version originale.)

Alors, bon, moi j'ai définitivement choisi mon camp : celui du burger 4 cm.
Mission au cuisinier de le rendre inoubliable par sa conception, sa saveur, pour qu'on fasse "hmmm"…^^

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Commentaires

Dents comprises ? par Laurence28 jorla le Jeudi 28/08/2014 à 13:04

 4 cm, dents comprises? Oui, ça doit être mon gabarit aussi. Je n'aime que les burgers maison, les autres m'écoeurent. Donc, d'accord avec toi, le gigantisme ça va pour la mousse au chocolat (oui je confesse) mais pour les burgers, je les applatis avec la main pour qu'ils fassent bonne mesure. Les burgers géants, je crois, attirent surtout les ados et jeunes adultes, plutôt mâles, que l'idée d'une coulée de sauce en plein repas  n'efleure même pas l'esprit. Je suis comme Camille, j'adore le bacon, mais j'essaierai avec plaisir le jambon blanc que j'aime beaucoup aussi, bonne idée.
J'adore tes quêtes perfectionnistes en matière de goût, contunue !


Re: Dents comprises ? par Caroline le Jeudi 28/08/2014 à 15:15

Oui ! Dents comprises ! Enfin, exclues plutôt, pour avoir l'ouverture utile.

Camille a tenu à se mesurer tout à l'heure et a découvert qu'elle ne faisait "que" 4,3 cm d'ouverture utile. Ce que je trouve déjà tout à fait remarquable pour une jeune personne, mais ce qu'elle a découvert avec incrédulité, stupeur et vives protestations.

Elle me soutient que "le Big Mac c'est parfait, je te jure, pour mes 4,3 cm".

J'ai dit "tope là", on s'en prend dans la semaine et on teste.
Elle a topé ! :-)


4 seulement! par Anne-Laure le Vendredi 29/08/2014 à 21:21

4 cm seulement, moi aussi. Je n'en reviens pas!
...Quand est-ce que tu nous fais goûter cette merveille, à la mesure de notre (petite) bouche ?


Re: 4 seulement! par Caroline le Vendredi 29/08/2014 à 23:06

T'as vu ???

Nos 4 misérables petits centimètres, en fait, c'est la norme !

Je te fais goûter dès que tu veux... Tu penses !


par burger le Lundi 22/06/2015 à 15:05

Pour moi le burger parfait est celui qui ne perd jamais sa garniture, je n'aime pas les débordements...donc j'approuve, un burger pas trop épais mais avec de bonnes choses dedans par contre, voilà la recette du bonheur :-)


C'est dément ! par Café le Vendredi 17/07/2015 à 14:48

C'est quand même étonnant tout ce que les gens peuvent emmagasiner dans leur estomac...
Après il n'aura même plus de la place pour un petit café...


par Sylvain le Mercredi 03/12/2025 à 12:57

 

Le guide ultime des coupes de robes : formes, usages, morphologies, matières, histoire et erreurs à éviter

La robe est l’un des vêtements les plus anciens de l’histoire de la mode, et pourtant, elle n’a jamais cessé d’évoluer. Des silhouettes drapées de l’Antiquité aux lignes architecturales contemporaines, chaque coupe raconte une manière de penser le corps, la féminité, la liberté de mouvement ou la mise en valeur. Pour comprendre le rôle central de la robe dans le style féminin, il faut analyser les formes, les matières, les contextes d’usage et l’impact des proportions sur la silhouette.

Ce guide couvre l’ensemble des entités indispensables à une topical authority sur le sujet : formes, longueurs, décolletés, matières, morphologies, occasions, tendances, problèmes fréquents et solutions stylistiques.

1. Les grandes familles de coupes : classification complète

La coupe influence plus de 60 % de la perception esthétique d’une robe. Voici les grandes catégories structurantes :

1.1 La robe fourreau

Étroite, sculptante, minimaliste, la robe fourreau suit les lignes naturelles du corps. Elle est idéale pour les événements habillés et les environnements professionnels formels. On peut retrouver une large variété de modèles à travers des sélections de robes ajustées et structurées.

1.2 La robe trapèze

Évasée depuis les épaules ou la poitrine, elle permet une grande liberté de mouvement et convient aux silhouettes recherchant confort et équilibre visuel. Les modèles trapèze féminins en sont une excellente illustration.

1.3 La robe portefeuille

Iconique, croisée, ultra flatteuse, elle affine la taille tout en élongeant la silhouette. Les collections de robes croisées élégantes montrent la diversité des déclinaisons : unies, imprimées, longues, courtes, satinées…

1.4 La robe asymétrique

La coupe asymétrique joue sur les lignes diagonales, créant des illusions optiques très avantageuses. Pour explorer ce style architectural, les robes asymétriques modernes sont une référence pertinente.

1.5 La robe sirène

Élancée, dramatique et très structurée, la robe sirène moule le haut du corps avant de s’évaser au niveau des genoux. Elle est prisée lors des mariages et galas.

1.6 La robe empire

Caractérisée par une taille très haute, juste sous la poitrine, elle allonge instantanément la silhouette. Parfaite pour les mariages estivaux.

1.7 La robe babydoll

Volumineuse sous la poitrine, aérienne, souvent courte : elle évoque la légèreté et une esthétique jeune.

2. Les décolletés et encolures : une science du cadrage visuel

Le décolleté définit l’attitude visuelle de la robe. Chaque encolure modifie la perception du cou, des épaules et du buste.

  • Encolure en V : élance la silhouette et crée une verticalité naturelle.
  • Col bateau : élargit visuellement les épaules.
  • Décolleté cœur : adoucit le buste et souligne la poitrine.
  • Licou : structure les épaules et apporte une touche moderne.
  • Bénitier : ajoute fluidité et sophistication.
  • Asymétrique : dynamique, artistique, idéal pour soirées et cocktails.

3. Les matières : comprendre leurs effets stylistiques

La matière influence le tombé, la texture, la fluidité et la formalité de la robe.

  • Satin : brillant, glamour, idéal pour soirées.
  • Dentelle : romantique, raffinée, très présente dans les mariages. Les robes en dentelle délicate illustrent cette richesse.
  • Mousseline : très fluide, aérienne, parfaite pour l’été.
  • Velours : texturé, chaud, dramatique, idéal en hiver.
  • Crêpe : chic, mat, très structurant.

4. Adapter la coupe à la morphologie : harmoniser les proportions

Une robe harmonieuse respecte les lignes naturelles du corps et compense certaines proportions. L’objectif : créer un équilibre visuel optimal.

4.1 Morphologie en A

On recherche l’équilibre en valorisant le haut du corps : encolures travaillées, manches, volumes.

4.2 Morphologie en V

On privilégie les jupes évasées et les décolletés plus doux.

4.3 Morphologie en X

La silhouette idéale pour les robes cintrées : portefeuille, fourreau, empire.

4.4 Morphologie en H

On crée artificiellement une taille par drapés, ceintures ou croisements.

4.5 Morphologie en O

On joue sur les matières fluides, les lignes verticales et les décolletés élégants.

5. Longueurs de robes : impact sur la silhouette

La longueur modifie l’équilibre vertical du corps.

  • Mini : dynamisme, jeunesse, liberté.
  • Au genou : polyvalence.
  • Midi : chic, raffiné, intemporel — comme les modèles vus sur robes midi élégantes.
  • Longue : majestueuse, idéale pour soirées et cérémonies.

6. Couleurs et symbolique : créer un impact visuel

La couleur raconte une histoire avant même la coupe.

7. Occasions : choisir en fonction du contexte

7.1 Soirée

Élégance, matières nobles, silhouettes marquantes : les sélections sur robes de soirée raffinées couvrent tous les styles.

7.2 Mariage

Qu’on soit mariée, demoiselle d’honneur ou invitée, chaque rôle a ses codes. Les robes de mariée élégantes et les tenues de demoiselles d’honneur forment un ensemble cohérent.

7.3 Cocktail

Longueur courte à midi, sophistication modérée, couleurs plus audacieuses.

7.4 Bal de promo

Modernité, paillettes, coupes princesses ou fourreaux : les inspirations proposées sur tenues de bal permettent de définir un look complet.

8. Problèmes courants et solutions stylistiques

8.1 Robe qui tombe mal

Souvent lié à la matière ou à un mauvais ajustement : préférer le crêpe ou un satin épais.

8.2 Transparence involontaire

Ajouter une doublure ou sélectionner un tissu opaque.

8.3 Mauvais soutien poitrine

Opter pour des robes prévues avec armatures ou dos adapté, comme les robes à dos travaillé visibles sur modèles dos nu élégants.

8.4 Longueur disproportionnée

Un ourlet ou un soulier différent peut totalement changer l'équilibre.

9. Entretenir et conserver la robe

Lavage à froid, repassage basse température pour les matières fragiles, cintres adaptés pour préserver les volumes : l’entretien conditionne la durabilité.

Conclusion

Choisir une robe parfaite repose sur une compréhension fine de la coupe, du tissu, de la morphologie et du contexte. Une robe est bien plus qu’un vêtement : c’est une mise en scène du corps, une intention esthétique et un équilibre de proportions.




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